Ché ben, moi aussi
J'aimerais ça accoucher de belles histoires qui élèvent
Des récits qui obligent à fermer son livre
À s'dire que c'est juste trop, qu'ça fera pour aujourd'hui
Mais dès que je m'assois, que je dégaine
Dans mes mains tremblantes se trouvent invariablement...
Comment tu y arrives ?
Té pourtant choqué noir, à vif, comme tout' nous autres
Tu dénonces, tu varges, comme un fou furieux
Mais tout ceci en nous faisant éclater de rire
Mais dès que je m'assois, que je dégaine
Dans mes mains tremblantes se trouvent invariablement...
Peut-on se refaire ?
Faut peut-être juste choisir les traits qu'on va réduire
J'ai médit en masse, là j'veux faire d'la place
Une saine dose de cynisme, pis d'amour, cé bon pour pas mourir
Mais dès que je m'assois, que je dégaine
Dans mes mains tremblantes se trouvent invariablement...
Un pieu, une corde et du sang
De quoi faire un collage triomphant
Incursion de la guitare électrique dans l'univers de Philippe Brach. Une ambiance plus enveloppante, plus texturée. C'est plus que prometteur pour la suite.
Chanson préférée: Héroïne (malgré le sujet qui m'a rebuté quelque peu) teagish
Je suis dubitatif devant la métamorphose de Catherine Leduc depuis l'aventure Tricot Machine. De musiques pianistiques simples et attachantes avec certains élans non sans rappeler Beau Dommage, elle inscrit maintenant ses musiques dans l'air du temps en concoctant des arrangements alternatifs variés affirmés par des textes à l'avenant. Le résultat est prenant et séduisant. Il permet de passer de beaux moments d'extase musicale et de réflexion sémantique. Excellent album! Maison Planàterre